La première partie de cet article publiée dans notre revue La Forêt Privée a ouvert la possibilité au lecteur de se familiariser, dans un premier temps, avec une approche pragmatique et cartésienne, en somme très schématique et théorique de la structuration d'un peuplement forestier. Dans un second temps cette structuration est apparue comme vivante, très opportuniste mais indéniablement et perpétuellement animée par une multitude de fonctionnalités biologiques toutes, à la fois, autonomes et interdépendantes. Chacune d'entre elles est source d'énergie, c’est-à-dire susceptible d'alimenter la dynamique naturelle, ou plus exactement, devrais-je écrire, d'alimenter et d'activer les dynamiques naturelles.
Peut-être que cette approche vous a semblé complexe, échapper à tout contrôle. Certes, nous ne connaissons pas encore toutes les imbrications entre les essences d'autant plus que les bouleversements climatiques sèment la zizanie dans nos certitudes.
Par ailleurs nous ne pouvons pas attribuer au climat l'ensemble d
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