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Covid et scieries « boostées »

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<p>À la scierie Grandpierre, Champagnole, Jura, la scie à grumes AE en plein débit d’une pièce de charpente d’une longueur de 13 m sur le chariot de 8,50 m.</p>

L’Observatoire du métier de la scierie mesure l’impact des années Covid, 2020-2021, sur le milieu de la scierie française et fait le point sur la situation en 2022-2023. Des témoignages illustrent les analyses.

Spectre de crise : début 2020

Quelles n’étaient pas les craintes, pour ne pas dire les angoisses, des scieurs au début de la pandémie du Covid-19, telles qu’exprimées dans les colonnes de La Forêt Privée de mai-juin 2020 titrant « Covid-19…et après ? Comment les scieries résistent ».

Craintes exprimées concernant avant tout le maintien des entreprises, de leur volume d’activité et de leur capacité à rembourser leurs prêts liées aux nombreux investissements amorcés après les années difficiles de reprise, suite à la crise des subprimes de 2007-2008. Craintes aussi face au spectre d’une nouvelle crise financière et donc de récession, avec ses corollaires, fermeture d’entreprises, chômage de masse, perte de confiance des consommateurs, frilosité des banques et des pouvoirs publics. Marc Siat, dirigeant de la scierie alsacienne, la plus importante de France sur un même site [1], notait :

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