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Les conséquences d'une culture en taillis-sous-futaie des siècles après sa mise en route

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En 2021, un taillis de chêne rouvre de 70 ans de belle allure. 

Crédit photo M. Bartoli
Pour montrer concrètement les souvent graves inconvénients de la culture en taillis, la forêt de Gabor située à Lavaur (Tarn) est quasi parfaite. Elle est petite (30 ha) et pourtant un étonnant et très précis reflet de l’his- toire du Midi toulousain, résidu d’un massif dix fois plus grand défriché au début du xvie siècle pour la culture du pastel.

Pour les forestiers, c’est là, qu’en 1666, « en avance de plus d’un demi-siècle, [Louis de Froidour, futur grand maître des Eaux et Forêts y inventa] le mode de traitement que nous suivons encore sous le nom de taillis-sous-futaie » écrivait, en 1927, le professeur de sylviculture de l’école forestière de Nancy. Jusqu’à nos jours, la sylviculture de cette forêt de chêne rouvre a continué d’être le TSF parfois très appauvri en réserves. Des arbres qui tombent sans qu’il y ait de vent, des mortalités par taches, de très mauvaises surprises qualitatives pour les bûcherons méritent explication.

Au départ 

Les choses sont claires : en 1666, le plus gros arbre de la forêt – royal

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