Stéphane Mero avoue deux penchants qu’il évoque avec passion. «J’aime le bois massif et le travail à l’ancienne.» À l’entendre, cette attraction lui vient de son enfance, où il dit avoir baigné très tôt dans les copeaux de bois.
«Mon père était menuisier à Cannes et je n’envisageais pas d’autre métier que le sien.» Ce qu’il qualifie d’obsession lui est resté ; il a suivi les traces paternelles et s’est installé dans la carrière. Le Cannois balaye d’une phrase laconique un CAP de menuisier qui lui a peu servi. «J’avais déjà toutes les bases, car c’est en observant mon père que j’ai appris le métier.» Une formation par mimétisme durant les vacances, les week-ends... Pendant quelques années, le père et le fils ont besogné ensemble dans l’
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