Avec le « papy boom », de nombreux chefs d'entreprises se demandent comment aborder au mieux la fin de carrière. Évidemment, la question de la transmission ne se pose pas dans les grands groupes aux myriades de filiales détenus par un actionnariat nombreux et plus ou moins nébuleux. En revanche, dans les petites entités familiales – et elles sont nombreuses dans la filière forêt-bois – la situation n'est pas vraiment vécue de la même façon.
Vendre à un repreneur lambda, céder à des salariés, transmettre à des descendants motivés ou, en dernier recours et hélas, mettre la clé sous la porte… Les cas de figure ne manquent pas. Chez Boudot construction bois, les choses se sont passées de manière réfléchie quand il a fallu envisager l'avenir de l'entreprise familiale. Guy Boudot n'avait pas encore l'âge de la retraite quand il s'est dit, avec son épouse Cathia, qu'il était temps d'assurer la pérennité d'une entreprise qu'il avait créé
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