Des sociétés de chimie dite « verte » (biochimie de synthèse), développent des procédés biologiques innovants (mettant en œuvre les sciences de l’enzymologie, de la génomique...). Leur but est de produire des matériaux aux vertus de renouvelabilité et de biodégradabilité... à partir de la « déconstruction » du bois, un matériau... possédant naturellement ces vertus ! Pour un transformateur du bois qui demain usinera une plaque de bioplastique, il se sera ajouté un intermédiaire industriel dans sa chaîne d’approvisionnement ! Ces sociétés de biotechnologies industrielles viennent de se voir offrir 420 M€ de soutien, en même temps qu’une stratégie nationale « Produits biosourcés et biotechnologies industrielles – Carburants durables » a été lancée le 10 décembre.
Lors d’un séminaire sur la robotisation, alors qu’un intervenant du secteur de l’automobile expliquait comment la robotisation sur une chaî
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