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Du 22/11/2022 au 28/11/2022 à Paris

Deux séminaires du réseau Aforce

Le réseau mixte technologique Aforce (que coordonne l'Institut pour le développement forestier, le service de recherche & développement du CNPF) organise deux séminaires les 22 novembre et 13 décembre 2022, en salle et en visioconférence, sur le thème de l’adaptation des forêts au changement climatique.

Le premier, le 22 novembre (de 9 heures à 17 heures) aura pour thème : « Coupes rases et renouvellement des peuplements forestiers en contexte de changement climatique » et propose une restitution de l'expertise collective pilotée par le GIP Ecofor depuis mars 2021 dans les domaines des sciences de l’environnement et des sciences humaines, économiques et sociales (il est donc organisé avec le GIP Ecofor, et avec le soutien du Masa, du MTECT, de l’Ademe et de l’OFB).

Cette expertise collective engagée en mars 2021 vise à dresser un état des connaissances sur les coupes rases et le renouvellement des peuplements, et une analyse des modes de renouvellement en contexte de changement climatique. Organisée en thématiques, elle couvre tant les domaines des sciences de l’environnement que ceux des sciences humaines, économiques et sociales. Cette expertise a mobilisé une soixantaine d’experts issus de : l'Inrae, AgroParisTech, l'IGN, l'ONF, le CNPF-IDF, FCBA, le CNRS, les universités de Bourgogne Franche-Comté et de Rouen Normandie.

Le deuxième, le 13 décembre (de 14 heures à 17 heures), aura pour thème : « La génétique propose-t-elle des solutions pour adapter les forêts au changement climatique ? ». Plus précisément, il traitera de « la génétique évolutive au service de la gestion et de la conservation des forêts ». Il est coorganisé avec France nature environnement, et avec le soutien du MAA et de l’interprofession France bois forêt.

De nombreuses questions seront à l’ordre du jour, traitées par des experts (Brigitte Musch, de l’ONF, et Alexis Ducousso, de l’Inrae, notamment) : les mécanismes génétiques d’hybridation ne peuvent-ils pas constituer des opportunités ? Mais quelles doivent être les limites pour éviter un changement complet du faciès de nos forêts ? L’introduction de nouvelles espèces est-elle un risque ou une démarche inévitable ?

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